Les fleurs font leur cinéma

Depuis la naissance du septième art, les fleurs n’ont eu de cesse d’inspirer les plus grands réalisateurs et s’imposent fièrement en haut de l’affiche de nombreux films devenus cultes. Dans un rôle dramatique, les nominés sont le lys, le magnolia et la rose. Plus populaires, la marguerite, la violette et le pissenlit assument la comédie. Quant à la tulipe, la pivoine ou l’orchidée, elles nous invitent aux thrillers et au cinéma d’aventure.

 

● 1919 : Le Lys brisé

Le Lys brisé
Réalisation : D.W. Griffith.
Distribution : Lillian Gish, Richard Barthelmess, Donald Crisp.
Genre : Drame.
Synopsis : Le Chinois Cheng-Huan reçoit comme mission d’aller apporter la bonne parole de Bouddha aux Anglais. Mais la tâche s’annonce plus difficile que prévue. Il ouvre un magasin dans un quartier de Londres et passe son temps à fumer de l’opium et à admirer Lucy, une jeune fille martyrisée par un père raciste et sans scrupule. Un soir, celle-ci, blessée, erre dans les rues de la ville et Cheng-Huan finit par la recueillir. Prenant soin d’elle, il ne sait comment lui déclarer sa flamme.
Le lys dans le langage des fleurs : Fier et imposant, le lys est la fleur des rois et des grandes destinées. C’est l’emblème floral des relations impossibles et passionnées.
 

● 1952 : Fanfan la Tulipe

Fanfan la Tulipe
Réalisation : Christian-Jaque.
Distribution : Gérard Philipe, Gina Lollobrigida, Marcel Herrand.
Genre : Aventure.
Synopsis : Pour échapper à un mariage forcé, Fanfan s’enfuit de Paris et s’engage dans l’armée française après qu’une diseuse de bonne aventure lui a prédit une brillante carrière… ainsi que son mariage avec Henriette, la fille du roi Louis XV de France. Une fois engagé, Fanfan se rend compte du piège mais se jure d’accomplir la prédiction. Après avoir sauvé la vie de madame de Pompadour, la maîtresse du roi, il reçoit une broche en forme de tulipe.
La tulipe dans le langage des fleurs : Proche de la rose, la tulipe exprime avec beaucoup de sincérité la fougue et l’impatience des sentiments.
 

● 1952 : Violettes impériales

Violettes impériales
Réalisation : Richard Pottier.
Distribution : Simone Valère, Carmen Sevilla, Luis Mariano.
Genre : Comédie musicale.
Synopsis : Au XIXe siècle à Grenade, la noble Eugénie de Montijo croise le chemin de Violetta, danseuse et vendeuse de violettes sans le sou. Cette gitane prédit à Eugénie un avenir au bras d’une tête couronnée. Quant à son cousin, Juan de Ayala, il tombe sous le charme de Violetta. Un peu plus tard, Eugénie se rend à Paris et charme Napoléon III. Elle rappelle alors Violetta mais des comploteurs décident d’éliminer Eugénie, devenue impératrice.
La violette dans le langage des fleurs : Puissant symbole d’amour depuis l’Antiquité, la discrète violette représente une relation qui doit rester secrète ou cachée.
 

● 1956 : En effeuillant la marguerite

En effeuillant la marguerite
Réalisation : Marc Allégret.
Distribution : Brigitte Bardot, Daniel Gélin, Robert Hirsch.
Genre : Comédie.
Synopsis : C’est l’histoire d’Agnès, fille du général Dumont, qu’elle a fortement irrité en publiant son livre En effeuillant la marguerite. Elle loge sans s’en rendre compte au Musée Balzac à Paris, où elle fait la connaissance d’un journaliste, Daniel. Pour rembourser l’unique édition qu’elle a vendue, elle s’inscrit dans un concours de strip-tease et parait masquée devant le public afin de berner le crédule Daniel, qui souhaite l’épouser.
La marguerite dans le langage des fleurs : La marguerite est associée à l’innocence, la candeur et la fraîcheur. En amour, elle traduit un sentiment simple et spontané.
 

● 1964 : Des pissenlits par la racine

Des pissenlits par la racine
Réalisation : Georges Lautner.
Distribution : Louis de Funès, Michel Serrault, Maurice Biraud, Mireille Darc.
Genre : Comédie.
Synopsis : Jo Arengeot et Pommes-chips viennent de sortir de prison. Pommes-chips retrouve Jack, un rival amoureux, et le poursuit pour le tuer. Finalement, c’est Jack qui le tue accidentellement et cache son cadavre dans l’étui à contrebasse de son cousin. Les deux hommes cherchent alors le meilleur moyen de se débarrasser du cadavre. Entretemps, Jo découvre qu’il a gagné au tiercé mais que le ticket gagnant est resté dans la veste de feu Pommes-chips.
Le pissenlit dans le langage des fleurs : Fleur populaire par excellence, le pissenlit est associé à la chance. Il est courant de faire un vœu en soufflant sur les pistils de ce petit génie.
 

● 1970 : La Pivoine rouge

La Pivoine rouge
Réalisation : Tai Kato.
Distribution : Tomisaburo Wakayama, Sumiko Fuji, Ken Takakura.
Genre : Aventure.
Synopsis : Ce film « yakusa » décrit les marginaux japonais, samouraïs déchus, voleurs de grands chemins et joueurs. C’est dans les années 60 que ce cinéma connaît le succès au Japon. Le héros est une femme qui vagabonde d’un pays à l’autre. Joueuse de cartes, elle est dotée d’une capacité invincible dans les arts martiaux et au combat.
La pivoine dans le langage des fleurs : En Chine, c’est la reine des fleurs. La pivoine est associée à la force, la fidélité et la protection.
 

● 1975 : La Chair de l’orchidée

La Chair de l’orchidée
Réalisation : Patrice Chéreau.
Distribution : Charlotte Rampling, Bruno Cremer, Edwige Feuillère.
Genre : Thriller.
Synopsis : Lorsque Claire hérite d’une immense fortune, Madame Bastier Wegener, sa tante, la fait interner dans un hôpital psychiatrique afin de récupérer ses biens. Claire réussit à s’évader et rencontre Louis Delage, un éleveur de chevaux, dont elle s’éprend. Mais tous deux sont bientôt poursuivis par des tueurs.
L’orchidée dans le langage des fleurs : Associée à la beauté féminine, l’orchidée fut longtemps qualifiée de « scandale du monde », considérée comme une créature à mi-chemin entre l’insecte et le végétal.
 

● 1977 : Moi, fleur bleue

Moi, fleur bleue
Réalisation : Eric Le Hung.
Distribution : Jean Yanne, Jodie Foster, Bernard Giraudeau.
Genre : Comédie dramatique.
Synopsis : Routier chômeur et incorrigible coureur de jupons, Max est accompagné de son fidèle ami, Isidore, jeune détective privé mâtiné poète. Ensemble, ils font la rencontre d’une cover-girl, « Blé des Champs » et de sa jeune sœur, « Fleur Bleue ». Excédée autant par l’idylle qu’elle a nouée avec Isidore que par l’école, cette dernière fugue. Tous se mettent alors en quête de Fleur Bleue.
La fleur bleue dans le langage des fleurs : Le langage des fleurs explique l’expression populaire « fleur bleue » car la couleur bleue est associée, dans le monde végétal, au rêve et à la poésie.
 

● 1981 : La Dame aux camélias

La Dame aux camélias
Réalisation : Mauro Bolognini.
Distribution : Gian Maria Volonte, Bruno Ganz, Isabelle Huppert.
Genre : Drame.
Synopsis : C’est l’histoire d’Alphonsine Plessis, immortalisée par Alexandre Dumas fils qui la nomme Marguerite Gautier dans son roman. Après être montée à Paris, elle devient prostituée puis courtisane. Bien qu’elle soit mariée, elle devient l’amante de Dumas fils avant de le quitter pour Franz Liszt et de mourir de la tuberculose.
Le camélia dans le langage des fleurs : Symbole de romantisme, la camélia exprime une déclaration d’amour tragique et passionnée.
 

● 1986 : Le Nom de la rose

Le Nom de la rose
Réalisation : Jean-Jacques Annaud.
Distribution : Sean Connery, Christian Slater, Helmut Qualtinger.
Genre : Thriller.
Synopsis : En l’an 1327, dans une abbaye bénédictine du nord de l’Italie, des moines sont retrouvés morts dans des circonstances suspectes. Cette abbaye réunit des franciscains et des représentants du pape pour une confrontation en terrain neutre. Le franciscain Guillaume de Baskerville, accompagné du jeune novice Adso de Melk, confié par son père au clergé, sont chargés de cette enquête difficile et riches en surprises, comme l’arrivée de l’Inquisition.
La rose dans le langage des fleurs : La rose a toujours entretenu des rapports passionnés avec la religion. Elle est associée au sacrifice et à l’amour divin rédempteur.
 

● 1995 : Le Cri de la lavande dans le champ de sauterelles

Le Cri de la lavande dans le champ de sauterelles
Réalisation : Marcello Cesena.
Distribution : Rossy de Palma, Jacky Nercessian, Carla Signoris.
Genre : Comédie.
Synopsis : Quelle surprise pour Anna et Carlo quand ils rentrent de leur voyage de noces. Ils découvrent dans leur valise la coquette somme de deux millions de lires. Anna est bien décidée à garder ce cadeau de mariage providentiel. Ils achètent donc un appartement. Mais le jour de l’inauguration, les propriétaires du magot, Carmine et Jack, deux gangsters, se manifestent au cours de la soirée.
La lavande dans le langage des fleurs : Si les essences de lavande attirent le respect et la loyauté au sein du foyer, la fleur peut aussi exprimer la méfiance.
 

● 2000 : Magnolia

Magnolia
Réalisation : Paul Thomas Anderson.
Distribution : Tom Cruise, William H. Macy, Julianne Moore.
Genre : Drame.
Synopsis : Earl Partridge, âgé et malade, va bientôt mourir. Il demande à son fidèle infirmier de retrouver le fils qu’il a jadis abandonné. Sa jeune épouse, qui convoitait sa fortune, devrait se réjouir mais n’y parvient pas. Frank Mackey, jeune gourou cathodique de la séduction masculine, s’est construit un passé et une vie. Mais combien de temps le masque peut-il résister? Toutes ces vies s’entrecroisent le temps d’une journée comme les autres sous le soleil de la Californie.
Le magnolia dans le langage des fleurs : Présent sur Terre depuis plus de 50 millions d’années, le magnolia est le symbole floral de l’amour éternel.
 

● 2002 : Le Laurier blanc

La Laurier blanc
Réalisation : Peter Kosminsky.
Distribution : Alison Lohman, Michelle Pfeiffer, Renée Zellweger.
Genre : Drame.
Synopsis : A quinze ans, la vie d’Astrid bascule. A la suite de l’arrestation de sa mère, Ingrid, qui a tué son compagnon, la jeune fille est placée en famille d’accueil. De foyer en foyer, elle tente de s’adapter à une vie instable. Sans échapper à l’influence de sa mère, Astrid est chaque fois confrontée à de nouvelles règles, à d’autres habitudes, et découvre le monde. La jeune fille apprend la vie en essayant de ne pas se perdre…
Le laurier dans le langage des fleurs : Hautement toxique, le laurier rose est l’une des plantes les plus mortelles. Il indique une mise en garde ou un danger.
 

● 2006 : Le Dahlia noir

Le Dahlia noir
Réalisation : Brian De Palma.
Distribution : Josh Hartnett, Scarlett Johansson, Hilary Swank.
Genre : Policier.
Synopsis : Los Angeles dans les années 40. Deux inspecteurs s’attaquent à une affaire de meurtre particulièrement difficile. Une starlette, Elizabeth Short, a été découverte atrocement mutilée. Sa beauté et sa fin tragique deviennent les sujets de conversation de toute la ville. Quels étaient les liens de la victime avec la puissante famille Linscott ? Que vivait-elle dans son intimité ? Et avec qui ? Enquête au-delà des apparences.
Le dahlia dans le langage des fleurs : Le flamboyant dahlia exprime sans détour la perfection et la magnificence du corps, une splendeur qui n’a toutefois pas d’odeur.
 

● 2006 : La Nuit des tournesols

La Nuit des tournesols
Réalisation : Jorge Sanchez-Cabezudo.
Distribution : Carmelo Gomez, Judith Diakhate, Celso Bugallo.
Genre : Thriller.
Synopsis : Au cœur des Pyrénées espagnoles, en pleine campagne, un meurtre a eu lieu. Dans la même région, une jeune femme est violemment agressée. Ces deux événements sont-ils liés ? La soif de vengeance va précipiter les uns contre les autres des personnages que tout oppose. La violence est-elle inhérente à la nature ou est-elle une invention de la ville ? Attention, ce film comporte des scènes qui peuvent choquer.
Le tournesol dans le langage des fleurs : Vénéré par les Incas, le tournesol est une fleur imposante et fière que l’on associe au pouvoir et à la dévotion.
 

● 2011 : La Colline aux coquelicots

La Colline aux coquelicots
Réalisation : Goro Miyazaki.
Distribution : Masami Nagasawa, Junichi Okada, Keiko Takeshita.
Genre : Animation.
Synopsis : Umi vit dans une vieille maison perchée au sommet d’une colline surplombant le port de Yokohama. Depuis que son père a disparu en mer, elle hisse chaque matin face à la baie deux pavillons, comme un message lancé à l’horizon. Au lycée, elle rencontre le séduisant Shun. Attirés l’un par l’autre, les deux jeunes gens vont partager de plus en plus d’activités mais leur relation prendre un tour inattendu avec la découverte d’un secret qui entoure leur naissance.
Le coquelicot dans le langage des fleurs : Le coquelicot symbolise la fragilité des sentiments et des souvenirs. Il invite à profiter de l’instant présent.
 

⃝ La rose au cinéma

Film Rose
– 1933 : Bed of Roses, drame américain de Gregory La Cava avec Constance Bennett, Joel McCrea et Pert Kelton.
– 1933 : Rose de minuit, film policier américain de William A. Wellman avec Loretta Young, Ricardo Cortez et Franchot Tone.
– 1935 : So Red the Rose, drame américain de King Vidor avec Margaret Sullavan, Walter Connolly et Harry Ellerbe.
– 1947 : La Rose du crime, thriller américain de Gregory Ratoff avec Peggy Cummins, Victor Mature et Ethel Barrymore.
– 1950 : La Rose noire, film d’aventure américain de Henry Hathaway avec Tyrone Power, Orson Welles et Cécile Aubry.
– 1951 : La Rose rouge, comédie française de Marcello Pagliero avec Françoise Arnoul, Jean-Roger Caussimon et Louis de Funès.
– 1955 : La Rose tatouée, drame américain de Daniel Mann avec Anna Magnani, Burt Lancaster et Marisa Pavan.
– 1962 : Le Jour du vin et des roses, drame américain de Blake Edwards avec Jack Lemmon, Lee Remick et Charles Bickford.
– 1968 : Pas de roses pour OSS 117, film d’espionnage français de Renzo Cerrato, Jean-Pierre Desagnat et André Hunebelle avec John Gavin, Margaret Lee et Curd Jürgens.
– 1973 : La Rose de fer, film d’épouvante français de Jean Rollin avec Mireille Dargent, Françoise Pascal et Hugues Quester.
– 1976 : La Rose et la Flèche, film d’aventure américain de Richard Lester avec Sean Connery, Audrey Hepburn et Richard Harris.
– 1978 : Jamais je ne t’ai promis un jardin de roses, drame américain d’Anthony Page avec Kathleen Quinlan, Norman Alden et Bibi Andersen.
– 1984 : Le Roi des roses, comédie dramatique de Werner Schroeter avec Mostéfa Djadjam, Anna Magdalena Montezuma et Antonio Orlando.
– 1985 : La Rose pourpre du Caire, film fantastique américain de Woody Allen avec Mia Farrow, Jeff Daniels et Danny Aiello.
– 1989 : La Guerre des roses, comédie américaine de Danny DeVito avec Michael Douglas, Kathleen Turner et Danny DeVito.
– 1993 : Une Rose entre nous, comédie dramatique française de François Ozon avec Sasha Hails, Rodolphe Lesage et Christophe Hemon.
– 1996 : Pluie de roses sur Manhattan, romance américaine de Michael Goldenberg avec Christian Slater, Mary Stuart Masterson et Pamela Segall.
– 1997 : Ma vie en rose, comédie dramatique française avec Michèle Laroque, Jean-Philippe Écoffey et Hélène Vincent.
– 2000 : Bread and Roses, drame franco-britannique de Ken Loach avec Adrien Brody, Pilar Padilla et Elpidia Carrillo.
– 2002 : Rose Red, film fantastique américain de Craig R. Baxley avec Jimmi Simpson, Nancy Travis et Matt Keeslar.
– 2003 : Gang of Roses, western américain de Jean-Claude La Marre avec Roselyn Sanchez, Lil’ Kim et Bobby Brown.
– 2009 : Roses à crédit, drame franco-israélien d’Amos Gitaï avec Léa Seydoux, Grégoire Leprince-Ringuet et Catherine Jacob.
– 2010 : L’épée et la rose, film d’aventure franco-portugais de João Nicolau avec Manuel Mesquita, Luis Lima Barreto et Nuno Pino Custódio.
– 2012 : Les Roses noires, documentaire français d’Hélène Milano.
– 2012 : Rose et Violette, film d’animation d’Andrew Ruhemann, Shaun Tan et Louise Seynhaeve avec Sophie Cadieux, Anaïs Favron et Laurent Lucas.
– 2013 : Des roses en hiver, comédie dramatique française de Lorenzo Gabriele avec Léa Drucker, Mylène Demongeot et Jean-Pierre Marielle.
 

⃝ Fleurs sur grand écran

Cinéma fleurs
– 1935 : Les coquelicots, drame japonais de Kenji Mizoguchi.
– 1944 : Les Petites du Quai aux fleurs, comédie dramatique française de Marc Allégret avec Bernard Blier, André Lefaur et Colette Richard.
– 1945 : Le Lys de Brooklyn, drame américain d’Elia Kazan avec Dorothy McGuire, Joan Blondell et James Dunn.
– 1946 : Le Dahlia bleu, drame américain de George Marshall avec Alan Ladd et Veronica Lake.
– 1948 : Cinq tulipes rouges, film policier français de Jean Stelli avec Jean Brochard, René Dary et Suzanne Dehelly.
– 1960 : Ne mangez pas les marguerites, comédie américaine de Charles Walters avec Doris Day, David Niven et Janis Paige.
– 1963 : Pas de lauriers pour les tueurs, film d’espionnage américain de Mark Robson avec Paul Newman, Elke Sommer et Edward G. Robinson.
– 1963 : Le Lys des champs, comédie dramatique américain de Ralph Nelson avec Sidney Poitier, Lilia Skala et Lisa Mann.
– 1963 : La Tulipe noire, film d’aventure franco-espagnol de Christian-Jaque avec Alain Delon, Virna Lisi et Adolfo Marsillach.
– 1969 : Fleurs d’équinoxe, comédie dramatique japonaise de Yasujirô Ozu avec Teiji Takahashi, Fujiko Yamamoto et Fumio Watanabe.
– 1970 : Les tulipes de Harlem, film italien de Franco Brusati.
– 1971 : Pas d’orchidées pour Miss Blandish, film policier américain de Robert Aldrich avec Kim Darby, Scott Wilson et Tony Musante.
– 1972 : De l’influence des rayons gamma sur le comportement des marguerites, drame américain de Paul Newman avec Joanne Woodward, Nell Potts et Roberta Wallach.
– 1974 : Dîtes-le avec des fleurs, drame franco espagnol de Pierre Grimblat avec Rocio Durcal, Fernando Rey et John Moulder-Brown.
– 1976 : Les Fleurs du miel, comédie dramatique française de Claude Faraldo avec Brigitte Fossey, Gilles Segal et Claude Faraldo.
– 1977 : De la neige sur les tulipes, film d’action américain de Robert Clouse avec Robert Mitchum, Richard Egan et Leslie Nielsen.
– 1990 : L’Orchidée sauvage, drame américain de Zalman King avec Mickey Rourke, Jacqueline Bisset et Carre Otis.
– 1995 : La Fleur de mon secret, comédie dramatique espagnoles de Pedro Almodóvar avec Marisa Paredes, Juan Echanove et Carme Elias.
– 1997 : Une odeur de géranium, comédie dramatique française de Laurent Achard avec Babet Ferrier, Vincent Taveau et Jérôme Le Paulmier.
– 2000 : Pain, Tulipes et Comédie, comédie italo-suisse de Silvio Soldini avec Licia Maglietta, Bruno Ganz et Marina Massironi.
– 2003 : La Fleur du mal, thriller français de Claude Chabrol avec Yves Pignot, Nathalie Baye, et Benoît Magimel.
– 2003 : Vénus et Fleur, comédie dramatique française d’Emmanuel Mouret avec Veroushka Knoge, Isabelle Pirès et Julien Imbert.
– 2003 : Fanfan la Tulipe, film d’aventure français de Gérard Krawczyk avec Vincent Perez, Penélope Cruz et Hélène de Fougerolles.
– 2004 : Anacondas, à la poursuite de l’orchidée de sang, film fantastique américain de Dwight H. Little avec Johnny Messner, Kadee Strickland et Matthew Marsden.
– 2007 : La Vallée des fleurs, drame franco-germanique de Pan Nalin avec Milind Soman, Mylène Jampanoï et Naseeruddin Shah.
– 2010 : Fleur du désert, drame britannique de Sherry Hormann avec Liya Kebede, Sally Hawkins et Timothy Spall.
– 2012 : Fleurs du mal, drame française de David Dusa avec Rachid Yous et Alice Belaïdi.
– 2013 : La Fleur de l’âge, comédie française de Nick Quinn avec Pierre Arditi, Jean-Pierre Marielle et Julie Ferrier.
– 2014 : Ma fleur maladive, documentaire français d’Astrid Adverbe avec Astrid Adverbe, Marina Déak et Frédéric Mainçon.

1 réflexion sur “Les fleurs font leur cinéma”

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